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lundi 25 décembre 2017

Trump laisse les palestiniens face à leur intransigeance - il n'imposera aucune solution de paix

Rapport: Trump annule le plan de paix du Moyen-Orient 

Les fonctionnaires de la Maison Blanche affirment que  Trump a annulé la publication de son plan de paix attendu au Moyen-Orient après que l'Autorité Palestinienne a rejeté les États-Unis en tant qu'arbitre.
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David Rosenberg,  | Mis à jour: 21:42

Trump annonce la reconnaissance de Jérusalem
Trump annonce la reconnaissance de Jérusalem
Reuters
L'administration Trump ne déploiera pas son plan de paix au Moyen-Orient très attendu dans un proche avenir - ou peut-être jamais - selon un rapport publié dimanche par la chaîne israélienne Channel 2 .
Citant des responsables de la Maison Blanche, l'administration Trump a abandonné son projet d'offrir un nouveau cadre pour les négociations visant à aboutir à un accord sur le statut final entre Israël et l'Autorité palestinienne.

Selon le rapport, l'Autorité palestinienne a réagi avec colère à l'annonce par le président Donald Trump du 6 décembre que les Etats-Unis reconnaissaient Jérusalem comme capitale d'Israël et que le Département d'Etat commençait à délocaliser l'ambassade américaine de Tel Aviv à Jérusalem.

Suite à la déclaration du président Trump, les responsables de l'AP ont décrié le changement de la politique américaine vis-à-vis de la capitale israélienne, affirmant que les Etats-Unis n'étaient plus aptes à servir de médiateur pour la paix au Moyen-Orient.
Selon le chef de l'AP Mahmoud Abbas, l'Autorité Palestinienne n'examineraient plus aucun plan de paix proposé par la Maison Blanche Trump.

"Les Etats-Unis se sont révélés être un médiateur malhonnête dans le processus de paix et nous n'accepterons plus aucun plan venant de sa part", a déclaré M. Abbas lors d'une conférence de presse avec le président français Emmanuel Macron, selon l' AFP .

Les hauts responsables de l'AP ont averti le vice-président Mike Pence qu'il n'était plus le bienvenu dans la région et que le chef de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas ne le rencontrerait pas lors d'un voyage en Israël initialement prévu pour le 18 décembre.

S'exprimant sous couvert d'anonymat, un responsable de la Maison Blanche a déclaré que l'administration était toujours déterminée à apporter la paix au Moyen-Orient, mais a ajouté que les Etats-Unis n'étaient pas intéressés à forcer les deux parties à la table de négociation."L'équipe dirigée par [Jared] Kushner et [Jason] Greenblatt travaille toujours dur sur le plan de paix", a déclaré le responsable. "Nous sommes juste là pour aider. Le président Trump n'a aucune intention de forcer un accord de part et d'autre. "


Moins de deux semaines après l'annonce historique du président Trump à Jérusalem, le président a dévoilé une nouvelle doctrine de sécurité nationale, compilée dans un document d'environ 70 pages.

Le document a mis l' accent sur le rôle du conflit arabo-israélien dans le déclenchement de la tourmente au Moyen-Orient, pointant du doigt le terrorisme islamique radical et le régime de Téhéran.
"Le conflit entre Israël et les Palestiniens a été perçu comme le principal irritant empêchant la paix et la prospérité dans la région", lit-on en partie dans le document obtenu par AP . "Aujourd'hui, les menaces des organisations terroristes radicales djihadistes et la menace de l'Iran font prendre conscience qu'Israël n'est pas la cause des problèmes de la région. Les États ont de plus en plus souvent trouvé des intérêts communs avec Israël face aux menaces communes. "

Le couloir Irano-syrien devient réalité - la stratégie des ayatollah se precise

jeudi 7 décembre 2017

Discours du President Trump sur Jérusalem en français


Discours du Président Trump reconnaissant Jérusalem comme capitale d'Israël



Merci,

Lorsque je suis entré dans mes fonctions j’avais promis d’examiner les problèmes mondiaux sans préjugés et fraîcheur d’esprit. Nous ne pouvons résoudre les problèmes en partant toujours des mêmes présupposés et reprenant les mêmes stratégies qui ont échoué. Tout défi exige des approches nouvelles. Mon annonce d'aujourd'hui marque le début d'une nouvelle approche des conflits entre Israël et les Palestiniens.


En 1995, le Congrès a adopté la loi sur l'ambassade de Jérusalem exhortant le gouvernement fédéral à déménager l'ambassade américaine à Jérusalem et à reconnaître que cette ville, et d'une manière si importante, est la capitale d'Israël. Cette loi a été adoptée par une écrasante majorité des Démocrates et des Républicains. Et cette loi a été réaffirmé par un vote unanime du Sénat il y a à peine six mois.


Pourtant, pendant plus de 20 ans, tous les anciens présidents américains ont dérogé à l’application de la loi, refusant de déplacer l'ambassade américaine à Jérusalem ou de reconnaître Jérusalem comme la capitale d'Israël. Les présidents l’ont fait croyant que retarder la reconnaissance de Jérusalem ferait avancer la cause de la paix. Certains disent qu'ils manquaient de courage, mais ils ont jugé au mieux la base des faits tels qu'ils les comprenaient à l'époque. Néanmoins, les faits sont là.


Après plus de deux décennies de dérogations, nous ne sommes pas plus proches d'un accord de paix durable entre Israël et les Palestiniens.
Il serait folie de supposer que répéter exactement la même formule produirait maintenant un résultat différent ou meilleur.

Par conséquent, j'ai déterminé qu'il est temps de reconnaître officiellement Jérusalem comme la capitale d'Israël.

Alors que les présidents précédents ont fait cette promesse majeure de campagne, une fois aux responsabilités, ils ont tous échoué à l’accomplir.

Aujourd'hui, je le fais. J'ai jugé que cette action était dans le meilleur intérêt des États-Unis d'Amérique et de la recherche de la paix entre Israël et les Palestiniens. C'est un pas en avant, qui aurait dû être entrepris il y a longtemps, pour faire avancer le processus de paix. Et pour travailler vers un accord durable.

Israël est une nation souveraine ayant le droit, comme toute autre nation souveraine, de déterminer sa propre capitale. Reconnaître que c'est un fait, est une condition nécessaire pour parvenir à la paix. Il y a 70 ans, les États-Unis, sous le président Truman, ont reconnu l'État d'Israël. Dès lors, Israël a fait de la ville de Jérusalem sa capitale, de même que le peuple juif y a établi sa capitale dans les temps anciens.

Aujourd'hui, Jérusalem est le siège du gouvernement israélien moderne. C'est le siège du Parlement israélien, la Knesset, ainsi que la Cour suprême israélienne. C'est l'emplacement de la résidence officielle du Premier ministre et du président. C'est le siège de nombreux ministères du gouvernement.
Pendant des décennies, les présidents américains, les secrétaires d'État et les dirigeants militaires, ont rencontré leurs homologues israéliens à Jérusalem, comme je l'ai fait, lors de mon voyage en Israël plus tôt cette année.

Jérusalem est non seulement seulement le cœur de trois grandes religions, mais c'est aussi le cœur de l'une des démocraties qui ont le plus réussi au monde. Au cours des sept dernières décennies, le peuple israélien a construit un pays où, juifs, musulmans, chrétiens et les croyants de toutes les croyances sont libres de vivre et de pratiquer le culte selon leur conscience et selon leurs croyances.

Jérusalem est aujourd'hui, et elle doit le rester, un lieu où les Juifs prient au Mur des Lamentations, où les chrétiens suivent les stations de la croix et où les musulmans pratiquent à la mosquée Al Aqsa. Cependant, durant toutes ces années, les présidents représentant les États-Unis ont refusé de reconnaître officiellement Jérusalem comme capitale d'Israël. En fait, nous avons refusé de reconnaître une quelconque capitale israélienne.
Mais aujourd'hui, nous reconnaissons enfin l'évidence. Que Jérusalem est la capitale d'Israël. Ce n'est rien de plus ni de moins qu'une reconnaissance de la réalité. C'est aussi la bonne chose à faire. C'est quelque chose qui doit être fait.

C'est pourquoi, conformément à la loi sur l'ambassade de Jérusalem, je charge également le Département d'État de commencer à préparer le transfert de l'ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem. Cela initiera immédiatement le processus d'embauche d'architectes, d'ingénieurs et de planificateurs de sorte qu'une ambassade nouvelle, une fois achevée, sera un magnifique hommage à la paix.

En faisant ces annonces, je tiens également à souligner un point très clairement. Cette décision ne vise nullement à rompre notre ferme engagement à faciliter un accord de paix durable.

Nous voulons un accord qui soit excellent pour les les Israéliens et excellent aussi pour les Palestiniens. Nous ne prenons pas position sur les questions du statut final, y compris les limites spécifiques de la souveraineté israélienne à Jérusalem ou la résolution des frontières contestées. Ces questions sont laissées aux parties impliquées.

Les États-Unis demeurent profondément engagés à faciliter la conclusion d'un accord de paix acceptable pour les deux parties. J'ai l'intention de faire tout ce qui est en mon pouvoir pour aider à forger un tel accord.

Sans aucun doute, Jérusalem est l'une des questions les plus sensibles de ces pourparlers. Les États-Unis aideraient une solution à deux États si les deux parties étaient d'accord. En attendant, j'appelle toutes les parties à maintenir le statu quo dans les lieux saints de Jérusalem, y compris le Mont du Temple, également connu sous le nom de Haram al-Sharif. Avant tout, notre plus grand espoir est la paix. Ce désir universel, présent dans chaque âme humaine.

Avec l'action d'aujourd'hui, je réaffirme l'engagement de longue date de mon administration en faveur d'un avenir de paix et de sécurité pour la région. Il y aura, bien sûr, des désaccords et des dissensions concernant cette annonce. Mais nous sommes convaincus qu'au bout du compte, au fur et à mesure que nous surmonterons ces désaccords, nous arriverons à une paix et à une place beaucoup plus grande pour la compréhension et la coopération. Cette ville sacrée devrait susciter le meilleur de l'humanité.

Levant les yeux vers ce qui est possible, ne pas nous ramener aux vieux combats devenus si prévisibles.
La paix n'est jamais hors de la portée de ceux qui veulent l'atteindre.

Aujourd'hui, nous appelons au calme, à la modération et aux voix de la tolérance pour qu’elles l'emportent sur les pourvoyeurs de haine. Nos enfants devraient hériter de notre amour, pas de nos conflits. Je répète le message que j'ai livré au sommet historique et extraordinaire en Arabie saoudite en début d’année : Le Moyen-Orient est une région riche de culture, d'esprit et d'histoire. Ses peuples sont brillants, fiers et divers. Vibrants et forts.

Mais l'avenir incroyable qui attend cette région est bloqué au loin par l'effusion de sang, l'ignorance et le terrorisme.

Le vice-président Pence se rendra dans la région dans les prochains jours pour réaffirmer notre engagement à travailler avec des partenaires à travers le Moyen-Orient pour vaincre le radicalisme qui menace les espoirs et les rêves des générations futures.

L’heure à sonné pour tous ceux qui désirent la paix, d'expulser les extrémistes de leur milieu. Il est temps que toutes les nations et tous les peuples civilisés réagissent au désaccord, par un débat raisonné, et non par la violence. Et il est temps pour les voix jeunes et modérées du Moyen-Orient de revendiquer un avenir brillant et beau.

Alors aujourd'hui, réengageons-nous sur un chemin de compréhension et de respect mutuels. Réexaminons les anciennes hypothèses et ouvrons nos cœurs et nos esprits aux possibles et aux possibilités.

Enfin, je demande aux dirigeants politiques et religieux de la région, israéliens et palestiniens, juifs, chrétiens et musulmans de se joindre à nous dans la noble quête d'une paix durable.

Je vous remercie. Dieu vous bénisse. Que Dieu bénisse Israël. Que Dieu bénisse les Palestiniens et que Dieu bénisse les États-Unis.
Merci beaucoup. Je vous remercie.

dimanche 19 novembre 2017

Achoura la fête gore de certains chiites

Pour les chiites, le jour de Achoura est le jour de la commémoration du massacre de l'imam Hossein petit fils de Mahomet et de 72 membres de sa famille et partisans par le califat omeyyade à Kerbala en Irak en 680.

L'achoura symbolise la lutte contre l'oppression et les injustices dans le chiisme par référence à cet événement historique wikipedia

Tous les ans des chiites du monde manifestent leur deuil et révolte contre ce meurtre survenu il y a plus de 1300 ans par un rituel pré historique : ils se blessant à la tête et tapent sur la plaie pour que le sang n’arrête pas de couler . Images de l'Achoura de 2017 au Liban dans la vile de Nabatieh par l'AFP /l'Orient le Jour.





dimanche 5 novembre 2017

Liban, démission de Hariri: tentative de secouer le joug iranien?


Le quotidien libanais L'Orient Le Jour  rapporte le discours du premier ministre du Liban, Saad Hariri , prononcé en Arabie Saoudite sur la chaîne Saoudienne Al Arabyia après une rencontre le Prince héritier Salman qui a du le motiver pour agir contre la mainmise de l'Iran sur le Liban:
"Là où l'Iran est présent, il sème la division et la destruction. La preuve de cela est son ingérence dans les pays arabes, sans parler de sa rancune profonde contre la nation arabe", a dénoncé M. Hariri, dans une attaque verbale inattendue contre l'Iran. "L'Iran a une mainmise sur le destin des pays de la région (...) Le Hezbollah est le bras de l'Iran non seulement au Liban mais également dans les autres pays arabes", a ajouté M. Hariri
 Soit il a eu peur de finir assassiné par le Hezbollah comme son père Rafik Hariri en 2005, soit il s'agit d'un électrochoc précurseur d'une initiative Saoudienne contre l'Iran au Liban - le Hezbollah qui est plus lourdement armé et puissant que l'armée libanaise.

Mohammad ben Salmane évince des concurrents du pouvoir en Aarabie Saoudite sous couvert de lutte contre la corruption.

Le quotidien libanais L'Orient le Jour commente de manière désabusée la purge qui secoue les milieux du pouvoir en Arabie Saoudite:
...la volonté du prince héritier saoudien Mohammad ben Salmane (MBS) de se débarrasser de tous ceux qu'il considère comme faisant partie de la vieille garde des al-Saoud. Et de verrouiller, autant que faire se peut, les rouages du pouvoir avant son accession au trône, en faisant d'une pierre au moins deux coups : asseoir son autorité et "lutter contre la corruption". Cette lutte, à condition qu'elle ne soit pas un prétexte, est au coeur de son plan de redressement économique, Vision 2030. 
C'est d'ailleurs MBS en personne qui préside la commission ad hoc créée pour lutter contre la corruption, et dont la naissance a été annoncée par décret royal samedi soir, soit quelques minutes avant le début des purges. Cet organe se voit en outre doté de prérogatives exceptionnelles et n'est pas soumis au droit commun. Il dispose de toute la latitude pour enquêter, accuser, traduire en justice toute personne ayant gaspillé ou mal géré l'argent public.

L'Iran fait tirer un missile du Yémen, sur l’Aéroport de la capitale de l'Arabie Saoudite , Riyad

Hier, une étape dans la guerre furtive que livre l'Iran chiite contre l'Arabie Saoudite sunnite, a été franchie. Un missile a parcouru 750 km du Yémen avant d’être détruit aux abords de l'Aéroport de la capital Riyad. S'agit il d'une attaque isolée ou du début d'une escalade?

Le Point (AFP)
Les rebelles yéménites Houthis, accusés d'être soutenus par l'Iran, ont revendiqué avoir lancé le missile d'une distance d'environ 750 kilomètres pour viser l'aéroport de Ryad, selon leur chaîne de télévision al-Masirah.
Il s'agit de la première attaque au missile balistique si proche de la capitale saoudienne.
"Ce soir, un missile balistique a été tiré du territoire yéménite vers le royaume" saoudien, a rapporté l'agence de presse officielle saoudienne SPA en citant le porte-parole de la coalition arabe conduite par Ryad qui intervient militairement au Yémen contre les Houthis, Tourki al-Maliki.
"Des fragments épars de ce missile ont atterri dans une zone inhabitée de l'aéroport de Ryad et il n'y a pas eu de victimes"
 L'auteur de la dépêche de l'AFP masque la vérité, les rebelles Houthis n'ont pas d’industrie militaire capable de produire un missile de 750 km de portée. OUI ils sont non seulement soutenus et armés par l'Iran, ils reçoivent leurs ordres de Téhéran. Et il est très probable que ce soit des agents iraniens qui aient tiré le missile-ce ne sont pas des armes au maniement évident comme un fusil.

vendredi 27 octobre 2017

Les arabes de Jérusalem préfèrent rester citoyens d’Israël

Un chef de quartier de Jérusalem Est affirme à la télé israélienne : 90% de mes semblables sont contre la violence et veulent vivre en paix sous souveraineté israélienne. Nous n'avons pas confiance dans l'autorité palestinienne. Personne ne veut échanger la citoyenneté israélienne avec la citoyenneté palestinienne. Je me sens plus israélien que palestinien.









dimanche 1 octobre 2017



Clash à l'ONU : Le fils du fondateur du Hamas appelle l'Autorité Palestinienne, 'Ennemie du peuple Palestinien



CDH , Genève le 25 septembre 2017 


Ex-membre du Hamas Mosab Hassan Yousef s'adressant aux Nations Unies, le 25 septembre 2017. Photo: ONU Watch.
GENEVE, le 25 septembre 2017 - Un membre du Hamas , devenu militant des droits de l'homme, s'est adressé au Conseil des droits de l'homme de l'ONU et a appelé l'Autorité palestinienne le «pire ennemi du peuple palestinien». Voir le discours complet ci-dessous.
"Si Israël n'existait pas, vous n'auriez personne à blâmer;assumez la responsabilité du résultat de vos propres actions ", a déclaré Mosab Hassan Yousef, dont le père était membre fondateur du Hamas.
Comme l'a raconté le film The Green Prince , Yousef est apparu comme l'un des plus précieux informateurs d'Israël. Il a empêché des attaques mortelles et fait démanteler des  cellules terroristes.
Yousef a parlé aujourd'hui au nom de UN Watch, une ONG  de défense des droits de l'homme basée à Genève, qui avait la parole lors d'une réunion sur les prétendues violations israéliennes des droits humains palestiniens. En revanche, le Conseil n'a pas d'élément spécial récurrent à l'ordre du jour sur la Syrie, le Soudan, l'Iran, la Corée du Nord ni Qtoute autre région.
"Pour de bonnes raisons, les démocraties occidentales ont de nouveau boycotté le débat d'aujourd'hui", a déclaré Hillel Neuer, directeur exécutif de l'ONU Watch.
"Dans l'univers dystopique de 1984 de George Orwell, tout le monde est contraint de subir un« Deux Minutes de Haine »quotidiennes. Dans l'univers dystopique du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, dont sont membres l'Arabie saoudite, le Qatar, Cuba et le Venezuela et dont le calendrier de chaque session comprend une journée entière consacrée à vomir la haine contre l'État juif.
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OLP : Israël, la puissance occupante, continue sa politique coloniale et les violations quotidiennes. Il continue d'abuser les droits, les détentions arbitraires, le nettoyage ethnique, voler la terre, arracher les arbres, voler l'argent...
Syrie : Israël judaïse Jérusalem, démolition de maisons , confiscation des terrains et des propriétés, abus des ressources naturelles...
Qatar: les violations racistes commises par Israël...
Corée du Nord: Israël continue de violer les droits de l'homme en Palestine...
PAKISTAN: Israël, la puissance occupante, avance dans les efforts de colonisation massive et la continuation de l'apartheid. Mettez un terme à ce régime colonialiste...
Venezuela: Apartheid, atrocités et destructions massives infligées au peuple Palestinien...
Iran: crimes de guerre, crimes contre l'humanité, nettoyage ethnique, terrorisme d'État...
Président de la commission des droits de l'homme de l'ONU: Merci. La parole est à UN Watch.
Mosab Hassan Yousef:
Merci, Monsieur le Président.
Je prends la parole au nom de l'ONG UN Watch.
Je m'appelle Mosab Hassan Yousef. J'ai grandi à Ramallah et j'étais membre du Hamas.
Je m'adresse à l'Autorité palestinienne, qui se prétend « unique représentant légitime» du peuple palestinien.
Je demande: d'où vient votre légitimité?
Le peuple palestinien ne vous a pas élu et ils ne vous ont pas désignés pour les représenter.
Vous vous êtes désignés tout seuls.
Le  peuple palestinien n'a aucun pouvoir sur vous. La violation de tous leurs droits en est la preuve.
En fait, l'individu palestinien et son développement humain sont le dernier de vos soucis.
Vous enlevez des étudiants palestiniens au campus et vous  les torturez dans vos prisons. Vous torturez vos rivaux politiques. La souffrance du peuple palestinien est le résultat de vos intérêts politiques égoïstes. Vous êtes le plus grand ennemi du peuple palestinien.
Si Israël n'existait pas, vous n'auriez personne sur qui rejetter la faute. Assumez la responsabilité du résultat de vos propres actions !
Vous entretenez les flammes du conflit pour maintenir votre pouvoir tyrannique.
Enfin, vous utilisez cette plate-forme pour tromper la communauté internationale et tromper la société palestinienne, leur faisant croire que c'est Israël qui  est responsable des problèmes que vous créez.
Je vous remercie.



La délèguée de l'OLP en état de choc en entendant Mosan Hassan Yousef dénoncer les impostures de l'OLP





mardi 1 août 2017

Aide internationale à la Palestine: 50% va aux terroristes

L'Autorité palestinienne utilise maintenant la moitié de toute l'aide étrangère pour récompenser le terrorisme

Vos impôts en action: l'Autorité palestinienne (AP) utilise maintenant la moitié de l'aide internationale pour récompenser le terrorisme.
Le nouveau budget de l'AP augmente de 13% le soutien aux terroristes en prison et l'aide aux familles de ceux qui ont tué "dans la lutte contre Sion" de 4%, rapporte l'Institut pour les affaires contemporaines.
Le total, 344 millions de dollars, est égal à 49,6 pour cent de toute l'aide étrangère à l'AP. En d'autres termes, l'argent de l'Oncle Sam, de l'Europe et même d'Israël subventionne le «bien-être des terroristes».
L'AP envoie un salaire à chaque Palestinien emprisonné pour une attaque contre les Israéliens, atteignant plus de 3 000 $ par mois pour une peine supérieure à 30 ans. D'autres bourses vont aux familles de «martyrs» tués. Il s'agit de 344 millions de dollars pour 2017 qui ne vont pas construire des routes ni des hôpitaux.
Savoir que vous ou que votre famille seront pris en charge est une incitation claire à tuer. C'est pourquoi le président Trump menace de mettre fin à l'aide américaine si l'AP n'arrete pas de le faire.
Le budget de l'AP est un «non» clair à la demande de Trump. La  balle est dans votre cour, monsieur le président.

mardi 25 juillet 2017

Abbas paye 3120 $ à l'assassin de trois juifs. Il faut cesser l'aide financière aux palestiniens !

Le programme palestinien de Mahmoud Abbas: Payer-pour-Tuer ôte la vie à trois membres d'une famille juive célébrant la naissance d'un enfant
La famille du terroriste va maintenant profiter d'une allocation mensuelle généreuse, grâce aux contribuables américains
Par Liel Leibovitz publié dans tablet magazine  adapté par observatoire du moyen orient le 25/07/2017

À 20h15, heure locale d'hier, un jeune Palestinien nommé Omar al-Abed s'est connecté sur son compte Facebook.
"C'est ma volonté pour vous", a-t-il écrit. "Je suis un jeune homme, même pas 20 ans. J'ai beaucoup de rêves et d'ambitions. Je sais qu'avec l'aide d'Allah, ils se réaliseront tous. J'ai aimé la vie, et j'aime faire sourire les gens, mais quelle genre de vie est-ce? Ils tuent nos femmes et nos jeunes, ils profanent notre mosquée al-Aqsa et nous sommeillons. Prenez vos armes et résistez. Ils ont déclaré une guerre contre Allah. Ils ont fermé Al-Aqsa et quelle est votre arme? La mienne est un couteau, et mon couteau répond au cri d'al-Aqsa.
Quatre-vingt-dix minutes plus tard, Al-Abed, son couteau à la main, a sauté sur la clôture de la communauté juive de Halamish. Dans son sac à dos, il y avait une bouteille d'eau et une copie du Coran. Il s'est arrêté pour s'asperger avec de l'eau, un acte de purification rituelle avant la mort. Puis il s'est glissé autour de la communauté, cherchant une cible facile.
La maison de Salomon était une cible idéale. Célébrant la naissance d'un nouveau bébé, la famille appréciait un diner de Shabbat. Al-Abed pouvait voir les lumières et entendre les conversations gaies, les prières et les chansons. Il se dirigea vers la maison et frappa à la porte. Les Salomons, sans méfiance, l'ont laissé entrer.
Cinq minutes plus tard, Yosef Salomon et ses enfants, Chaya et Elad, étaient morts, leur sang couvrant le carrelage blanc de la maison. Le reste de la famille a réussi à fuir vers l'une des chambres et à appeler la police. Un voisin, un soldat en congé de fin d'année, a entendu les cris et est arrivé en courant, il a tiré sur Al-Abed , le blessant, et mis fin au massacre.
Cette tragédie devrait vous mettre en colère pour de nombreuses raisons, mais deux en particulier attirent l'attention.
La première est que le meurtre était tout à fait prévisible. C'est le résultat direct du torrent d'incitation de la criminalité palestinienne à propos d'al-Aqsa. Lorsque le gouvernement israélien a placé des détecteurs de métaux à l'entrée du complexe sacré après que trois terroristes palestiniens aient tué deux policiers israéliens au début de ce mois-ci, les dirigeants palestiniens se sont mobilisés pour dépeindre la mesure de sécurité préventive comme une tentative israélienne d’exclure les musulmans de ce site sacré de l'islam. 
N'oubliez pas que, depuis qu'il a réuni Jérusalem en juin de 1967, l'État juif s'est mis en quatre pour attribuer au Waqf, le corps religieux musulman qui administre le site, une autonomie totale, allant jusqu'à empêcher les Juifs de prier sur ce site, qui est pour nous aussi, considère comme le lieu le plus saint. Cela pour ne pas offenser les sentiments des Imams prompts à la colère. 
Peu importe que la réponse soit venue après une attaque terroriste palestinienne sanglante qui, penserait-on, est le genre d'action qui profane la sainteté du site plus que ne le feraient jamais plus de mille détecteurs de métaux. Mahmoud Abbas et ses copains ont passé toute la semaine à s'agiter hystériquement que les Juifs marchent sur Al-Aqsa, et al-Abed, 19 et impressionnable, a écouté. 
Ceux qui ont mis de l'huile sur le feu sont aussi coupables que celui qui brandit le couteau. Et cela comprend une antisémite comme Linda Sarsour, chérie de la gauche régressive, qui a utilisé Twitter pour affirmer faussement qu'Israël niait aux musulmans le droit de prier à Al-Aqsa. 
Mais il y a une tournure encore plus stupéfiante pour l'histoire. Alors que la famille Salomon enterre ses morts, que la communauté du village a passé la journée en lavant le sang de Yosef, Chaya et Elad depuis la cuisine au salon, et que d'autres consolent ceux qui ont vu et entendu leurs proches poignardés à mort - la famille al-Abed Va profiter d'une paie généreux, grâce à l'Autorité palestinienne, qui utilise l'argent qu'elle reçoit, entre autres sources, des contribuables américains pour compenser généreusement les tueurs de Juifs. Parce que le salaire est proportionnel à la durée de la peine d'emprisonnement du terroriste, et parce que la peine est proportionnelle aux crimes commis. Plus le terroriste tue des Juifs plus sa famille sera récompensée. 
Les al-Abeds seront richement récompensés pour les trois meurtres d'Omar: le salaire mensuel versé aux familles des personnes condamnées À 30 ans ou plus en prison est de 3 120 $. Juste à titre de comparaison, le salaire moyen d'un ingénieur palestinien est de 1300 dollars par mois.
C'est le récit de deux familles. C'est l'histoire d'Israël et de Palestine. Et cela ne changera pas tant que les Israéliens et les Américains déclarent, dans les termes les plus forts possibles, que ces meurtres ne seront plus tolérées. Il faut appliquer la loi dite "Taylor Force" ( du nom du citoyen américain assassiné par un palestinien) qui bloque l'aide monétaire américaine à l'autorité palestinienne tant qu'elle continue d'indemniser les terroristes. C'est une première étape indispensable.